Dreaminzzz : du rêve connecté à l’aventure entrepreneuriale

E-Commerce Nation

02.05.2019


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E-MERCHANDISING | PODCAST | PRODUIT / PIM / MDM

“Il faut s’orienter vers des solutions qui vont agir efficacement sur le bien être, la santé des utilisateurs. C’est là où l’on se différencie car il y a peu d’entreprises qui font des produits simple d’utilisation mais qui marchent terriblement bien” – Kévin Kastlenik

Hello à tous,

J’espère que vous allez bien ? Je me présente, je suis Nicolas J. Chevalier, Explorateur en Chef et fondateur d’E-Commerce Nation. Je vous retrouve cette semaine pour le nouvel épisode du podcast des Explorateurs du E-Commerce en compagnie de Kevin Kastelnik, co-fondateur de Dreaminzzz. J’espère que celui-ci vous plaira tout autant que les précédents.

Dans ce podcast je vous emmène dans les coulisses du e-commerce en France. Comme chaque mercredi, vous découvrez les retours d’expérience exclusifs, des histoires inspirantes et des personnalités hautes en couleur. J’espère que vous êtes confortablement installés pour ce voyage au coeur de la nation du e-commerce.

Nicolas J. Chevalier:Aujourd’hui on se retrouve pour une nouvelle exploration du e-commerce avec Kevin de Dreaminzzz, un projet fort en couleurs puisqu’il y a de nouveaux produits, tout ce qui est autour de masques pour hypnose. Une tendance du bien-être qui se développe de plus en plus sur de nombreux marchés, Kevin est aujourd’hui avec nous pour nous parler de son projet. Bonjour Kevin !

Kevin Kastelnik: Bonjour Nicolas !

Nicolas J. Chevalier: Alors Kevin, Dreaminzzz en quelques mots, on va y arriver. Est-ce que tu peux nous expliquer un peu ton parcours et comment t’es arrivé à ce masque connecté d’hypnose ?

Kevin Kastelnik: Oui avec plaisir. En fait mon parcours en tout cas déjà ne serait ce que scolaire et professionnel. Moi j’ai fait une école d’ingénieur, ensuite j’ai tout fait par apprentissage, et j’ai continué dans ma dernière entreprise à évoluer en tant que chef de projet, chef de produit dans des domaines qui n’avaient rien à voir. J’étais chef de projet, chef de produit sur des machines de tri, qui triaient les déchets à grande vitesse. C’est un domaine qui m’a permis de connaître plein de choses, à savoir à développer des applications, développer des systèmes, développer plein d’éléments techniques. Et petit à petit, après trois quatre ans à travailler en tant que chef de projet, je me suis dit ça commence à me démanger un petit peu de créer quelque chose. Et je me suis retrouvé à rencontrer mon associé Guillaume pour la société, de manière complètement vraiment par hasard et rocambolesque. C’est-à-dire que c’était mon voisin du dessous et on m’a cassé ma porte d’entrée pour me cambrioler. Ils n’ont pas réussi à me cambrioler mais ils m’ont enfermé dehors. Résultat, après c’est bien la première fois qu’on va remercier des cambrioleurs je pense, mais en tout cas je me suis retrouvé sur mes escaliers en train d’attendre que les serruriers arrivent. Et c’est là que Guillaume, on ne se connaissait pas, m’a dit venez manger, ce sera l’occasion de discuter entre voisins. Et puis Guillaume qui est toujours hypnopraticien, mais qui à l’époque pratiquait en cabinet me dit “Écoute moi je fais de l’hypnose”, je dis moi je fais de l’ingénierie, il y a peut-être un truc à faire. Un mois après on avait un masque, un prototype qu’on mettait sur la tête de ma femme puisqu’il n’y avait qu’elle à l’époque nous faisait confiance. En tout cas assez confiance pour tester un truc avec plein de fils sur le crâne. Et elle s’est endormie et on s’est dit écoute on a dû faire quelque chose qui est plutôt pas mal, et on a continué comme ça. Moi j’ai quitté mon entreprise, il a arrêté son activité et du coup on a commencé à travailler ensemble sur le projet. Donc qui était un projet où on a testé plein de choses avant, on avait fait plein d’essais et plein de tests, on a testé le masque et on a commencé à créer le masque en fait, le premier produit qui allait permettre justement de vraiment diffuser l’hypnose au plus grand nombre. L’idée c’était vraiment d’extraire ce qu’il y avait dans la tête de Guillaume, de le coupler à la technique pour que ça soit très facile à utiliser, et que tout le monde puisse utiliser l’auto-hypnose. Donc voilà un peu mon parcours, en tout cas de ce que j’ai fait avant, apprentissage, chef de projet, et ensuite co-créateur de la société Dreaminzzz avec Guillaume.

Nicolas J. Chevalier: Une belle histoire et en fait un mélange de compétences un peu poussé par le destin qui aboutissent sur ce projet. Si tu devais nous décrire Dreaminzzz en quelques mots et votre ambition ?

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Kevin Kastelnik: En fait Dreaminzzz c’est à présent une équipe de cinq personnes, de cinq passionnés. On a commencé à deux dans notre garage avec Guillaume pour créer notre premier produit, qui est le masque hypnose, je vous parlais du deuxième après. En tout cas Hypnos®, c’est un masque d’hypnose connecté, c’est-à-dire un masque comme les avions. Vous allez avoir des lumières et des vibrations à l’intérieur. Tout est léger, très souple et il est connecté à une application mobile. Dans cette appli mobile on a créé des séances d’hypnose, environ une cinquantaine, qui ont été enregistrées par des praticiens. On va spatialiser le son, le son est en trois dimensions et en fait les lumières et les vibrations vont se synchroniser sur le discours hypnotique qui vous est proposé. Vous percevez toutes les lumières et les sensations à travers vos yeux fermés, et en fait en faisant ça on utilise votre imagination pour pratiquer l’auto-hypnose. C’est comme ça que vous allez pouvoir travailler sur l’amélioration de la qualité du sommeil, la détente, la relaxation, la concentration, les contes pour enfants, les performances sportives… on peut faire vraiment plein plein de choses la culture l’hypnose et avec toutes les sessions que l’on a créé. Ça c’est notre premier produit.

Nicolas J. Chevalier: Premier produit, il y en a d’autres en préparation ? Ou peut-être que c’est confidentiel encore aujourd’hui ?

Kevin Kastelnik: Non pas du tout. On va vous en parler parce que c’est quelque chose qu’on va lancer en septembre. Justement Dreaminzzz on a commencé comme je te l’ai dit dans le garage. Maintenant c’est environ 10.000 utilisateurs en moins de deux ans sur uniquement le marché français. En fait on a une belle croissance, on double notre chiffre d’affaires et notre croissance depuis deux ans. C’est vrai que c’est une petite réussite pour nous en tout cas ce qu’on est content d’un projet qui à la base n’ait pas lieu de se rencontrer puis le destin fait qu’on s’est mis à travailler ensemble. On arrive maintenant à avoir cinq salariés, à faire une entreprise qui tourne correctement. L’idée c’est justement de faire deux axes stratégiques cette année, ça va être de travailler sur l’internationalisation, ç’est-à-dire partir à l’international avec Dreaminzzz et également créer un nouveau produit. Et donc Hypnos® est utilisé par beaucoup de gens et on a récupéré beaucoup de feedback du coup. C’est un super bon produit qui marche très bien et qui est vraiment très très efficace sur les problématiques que je vous ai présenté tout à l’heure : sommeil, relaxation, détente etc. Simplement encore dans les entreprises parfois c’est compliqué de dire “Je prends mon masque 5 minutes et je vais me poser 20 minutes pour faire une sieste”. Alors dans notre génération start up, il n’y a pas de souci, en général ça ne pose pas de problème, mais pour des entreprises un peu plus conséquentes il y a un fort niveau de stress etc.. C’est encore un petit peu mal vu travailler avec son masque au quotidien. Donc les gens le font chez eux ou entre midi et deux un peu discrètement. Donc on voulait créer en fait un produit d’appel qui s’appelle HILO, et qui est un plus petit produit va faire 6 cm, ça ressemble à un galet, dans lesquels vous allez avoir des techniques de respiration qui sont proposées et vous allez pouvoir vous guider avec ce galet avec un petit écran ou des vibrations et une lumière, vers justement un état de relaxation, un état d’apaisement, un état de détente via des techniques de respiration qui ont été prouvées médicalement. Et ça ça va sortir justement en septembre normalement chez nos distributeurs, puisqu’on est distribué par plusieurs grands noms et grandes marques en France comme Nature et Découvertes, Boulanger, Amazon, notre site internet.

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Source : Les Echos Entrepreneurs

Nicolas J. Chevalier: D’accord, c’est quoi votre philosophie par rapport à ça, vis-à-vis du e-commerce parce que vous avez un site e-commerce, vous permettez cette vente en direct, et puis vous avez une stratégie de distribution. C’est quoi un peu ta vision sur cet aspect e-commerce ?

Kevin Kastelnik: En fait avec l’e-commerce, l’intérêt pour nous tout simplement est assez simple, c’est que nous fabriquons en France. Quand vous fabriquez en France vous n’avez pas le même niveau de marge que quand vous fabriquez à l’étranger, donc le e-commerce c’est un bon moyen pour conserver des taux de marge intéressants. C’est-à-dire que si vous arrivez à développer votre activité e-commerce, forcément vous allez avoir une belle visibilité et une belle notoriété. Et du coup avec peut-être moins de volume, vous allez pouvoir générer quasiment des chiffres d’affaires équivalents à des magasins physiques. Donc on ne peut pas passer à côté sur des produits comme le nôtre. C’est vraiment indispensable de pouvoir vendre en direct. Et surtout ça permet également aussi de collecter énormément d’informations, de retours de nos utilisateurs. Quand je dis informations pas de problème avec la RGPD, c’est simplement des infos qu’on récupère de nos users. C’est-à-dire qu’on leur demande ce qui va, ce qui ne va pas, ce qu’on peut améliorer, comment est-ce qu’on peut faire mieux sur telle ou telle séance, sur tel ou tel produit. Et du coup ça nous permet de récupérer beaucoup beaucoup d’infos, alors que c’est plus compliqué quand vous passez par un distributeur qui lui va avoir ses clients en direct, et vous n’aurez pas forcément le feedback.

Nicolas J. Chevalier: De récupérer du feedback, de mieux comprendre et d’être plus proche de sa communauté. Savoir peut-être sur les fonctionnalités, sur le retour aussi, est-ce que les impacts sont réels… j’imagine que ça te permet d’avoir un peu une étude de marché en temps réel ce contact direct ?

Kevin Kastelnik: C’est exactement ça et nous on est vraiment focus sur le care, sur le fait de prendre soin de nos clients. C’est vraiment important pour nous. On a créé ce système là à la base parce qu’on a vraiment la sensation qu’il faut un système comme ça pour que les gens prennent conscience de tout leur potentiel et de tout ce qu’ils sont capables de faire par eux-mêmes sans médicaments. On n’est pas des commerciaux à la base, on n’a pas fait ça pour faire du business. C’est sûr qu’après c’est une entreprise il faut que ça tourne, on ne va pas vous le cacher c’est sûr qu’à un moment donné, il y a une notion financière. Mais à la base on est tous les deux passionnés par ce qu’on fait. Passionné par cette capacité de notre cerveau, du corps humain en tout cas à s’autosoigner ou s’autoguérir sur certains points. Donc du coup c’est important pour nous de garder cette relation avec notre client, d’être capable de lui demander les infos. S’il nous dit ben ça les gars ce n’est pas bon, c’est nul. Ok on corrige. On prend, on corrige, on n’est pas susceptible et on essaye d’avancer pour ou derrière faire les meilleurs produits possible et en l’occurrence ça semble marcher puisqu’on a de très très bons retours de nos clients.

Nicolas J. Chevalier: Tu as parlé pas mal d’international, comment tu vois un peu l’international j’ai vu qu’il y avait quelques articles là-dessus ou tu disais que certains marchés étaient un peu plus ouverts à ce type de pratique que ce qu’on peut l’être en France. C’est quoi un peu votre vision par rapport au marché international et votre stratégie de développement c’est aussi d’utiliser des distributeurs, c’est d’utiliser ce levier e-commerce ? Et quelles sont les étapes pour l’international ?

Kevin Kastelnik: Alors clairement pour nous l’international, la stratégie ça va être d’abord d’utiliser les leviers e-commerce. Se déployer chez un distributeur ça coûte de l’argent, ça coûte du temps et surtout si parfois tu as des petits couacs ou autres ça peut vite te coûter cher sur une implantation de marché. Donc l’idée c’est vraiment plutôt d’utiliser notre site internet qu’on va déployer pour l’étranger, marchés nord-européens puis américains l’année prochaine. Et surtout d’utiliser Amazon également, parce qu’en fait Amazon c’est tout simplement un vendeur en ligne donc forcément ça nous permet de nous déployer très très vite. Notre site internet plus Amazon, et surtout les coûts sont moindres et extrêmement maîtrisés, parce que derrière quand vous faites des produits la clé c’est de maîtriser ses coûts de fabrication, ses coûts d’industrialisation. Et donc nous l’idée c’est vraiment commercialement de pouvoir se déployer d’abord sur des marchands en ligne, derrière quand on aura des chiffres intéressants ce qui va se passer très probablement, on pourra aller voir des distributeurs avec un réel poids en leur montrant “regardez ça se vend, derrière vous êtes sûr de faire tant de niveaux de ventes”, et du coup vous avez une stratégie qui est beaucoup plus sécurisante en tout cas pour les distributeurs avec lesquels on va travailler à l’international.

Nicolas J. Chevalier: On le voit sur certains marchés de passer via Amazon ça ouvre des opportunités mais aussi ça permet de s’aligner sur les standards de marché, que ce soit sur la livraison et les habitudes des consommateurs.

Kevin Kastelnik: C’est ça. Et puis surtout il faut aussi prendre en compte que l’on va changer de population. On a travaillé avec les marchés français, donc avec des Français et les attentes des Français par rapport à des Anglo-saxons sont différentes et vice versa. Donc l’idée c’est aussi de pouvoir customiser ou adapter le produit intelligemment pour que justement on se retrouve dans une situation où on adapte le produit parfaitement au marché auquel on va s’adresser. Si on se retrouve à faire du copier-coller France vers anglo-saxons ça marchera pas. Donc il va falloir adapter un petit peu les séances, adapter peut-être l’ergonomie légèrement de certains points pour qu’elle soit raccord avec les habitudes de chacun. C’est comme ça qu’on arrive justement avec le e-commerce à faire des premières phases on va faire 500, 1000 à 1500 produits qui vont partir, on va corriger et adapter et après on déploie plus massivement. Et en faisant un déploiement par étapes comme celui-là, on se retrouve derrière à avoir un produit qui est très efficace et qui fonctionne très bien même à l’étranger. En tout cas c’est notre vision, notre stratégie, pour le moment elle semble payer. Donc on continue en tout cas sur cette approche-là.

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Source : DreaminzZz

Nicolas J. Chevalier: Comment vous avez fait pour continuer à vous développer ? Vous avez mobilisé des fonds, fait une levée de fonds pour pouvoir se développer ? C’était quoi un peu votre stratégie de financement et de développement ?

Kevin Kastelnik: En fait on a joué avec le feu en partie et ensuite on s’est développé, on va dire ça comme ça. La première étape nous on a récupéré la bourse French Tech qui est une petite bourse qui aide les start-ups pour justement démarrer. C’est une subvention pure c’est ça qui est intéressant, c’est-à-dire que vous ne remboursez pas l’argent. Du coup on a bénéficié de cette bourse-là pour tout ce qui était un petit peu de démarrage, ça va être création des premiers protos, validations techniques etc. Et après on a négocié avec nos fournisseurs et nos clients pour pouvoir justement financer nos premières commandes. C’est-à-dire qu’on demandait à nos clients de nous payer plus vite que ce que l’on payait de nos fournisseurs. C’est comme ça que du coup on arrivait à enclencher un fonds de roulement qui était intéressant et a constitué une première trésorerie. Et ensuite on a fait une levée de fonds en love money pour simplement sécuriser l’entreprise. C’est-à-dire simplement assurer en fait un fonds de roulement qui allait nous permettre de travailler, sécuriser toutes les actions de l’entreprise. Et là on a levé pratiquement 100.000 euros en love money, donc là c’était famille, amis proches, etc. Ce qui nous a permis de vraiment consolider en fait notre approche, vérifier que le marché était bien là, qu’on avait des commandes. Dans tous les cas pour le moment effectivement un point à noter c’est qu’apparemment ça fonctionne plutôt pas mal puisque contrairement à pas mal de start-ups, on a une croissance à trois chiffres et en plus on est rentable déjà depuis deux ans, donc déjà c’est apparemment qu’on a fait les bons choix techniques.

Nicolas J. Chevalier: Donc j’imagine c’est surtout la production, un petit peu de R&D aussi principalement positionnée, mais vous avez en fait un réseau, une demande, donc vous réussissez à vendre et donc ça finance en grosse partie la production. Je pense que c’est ça le plus difficile quand on lance un produit innovant. Est-ce qu’on constitue d’abord un stock, on génère de la vente ? C’est de trouver un équilibre avec ces deux courbes là.

Kevin Kastelnik: C’est ça, après petit conseil de ce qu’on a pu voir nous, il ne faut pas hésiter à vendre même en précommande. On a fait de la précommande en expliquant bien à nos clients qu’il y aurait plusieurs mois de délai etc. pour faire la phase de bêta test, et il n’y avait pas de problème. Du moment que vous communiquez avec les gens, vous aurez toujours une ou deux personnes, ou trois allez qui vont être un petit peu tendues, et qu’il faudra rembourser ou autres, mais ça, ce n’est pas grave vous le prévoyez. Par contre si vous expliquez aux gens, vous leur raconter bien l’histoire, vous leur dites on est en train de démarrer, on est en train de travailler, on communique et on vous dit où on en est, regardez le produit arrive. Nous on a fait une phase de bêta test avant sur notre site internet, donc typiquement en ligne, c’est vraiment du e-commerce. On avait mis en pre-order, et on avait pratiquement vendu si je me rappelle, je crois que c’était entre 500 et 700 masques je crois, en quelques mois. C’est tout bête mais si vous l’anticiper bien ça vous fait un peu trésorerie. Si vous avez bien géré votre production, au moins vous pouvez la roder avant d’avoir à faire des milliers de pièces. Parce que nous on fabrique tout ici, on fabrique tout en France, c’est fait à Avignon. Donc forcément il a fallu créer une chaîne de production, s’industrialiser, travailler avec le personnel pour justement avoir un bon mode de fonctionnement. Et du coup ça permet quand même de se roder, donc le petit conseil moi je dirais c’est que la vente, c’est la preuve que votre produit marche. Des fois on peut être persuadé que ça va marcher, etc.. Bon après la finalité c’est quand même que derrière vous allez vendre. Donc testez, vous prenez Woocommerce ou prenez Prestashop, vous mettez un module de pre-order, ça va vous coûter quasiment rien, vous mettez trois images de votre produit, vous l’expliquez bien et vous testez voir s’il se vend. Et après quand il se vend au pire des cas vous le fabriquer en prototypage rapide, maintenant a l’avantage de pouvoir faire des prototypes très vite en petites séries, qui coûtent quasiment le même prix que des productions complètes. Donc l’intérêt c’est tester. Utilisez le e-commerce pour tester, il faut y aller, vraiment tester et au pire des cas vous trouverez les solutions en cours de route mais ça fonctionne.

Nicolas J. Chevalier: Et donc sur cet aspect e-commerce aujourd’hui, c’est quoi un peu tes canaux d’acquisition en termes de trafic ou autre ? Comment vous vous développez sur cet aspect de e-commerce ?

Kevin Kastelnik: Alors nous on a embauché une chargée de communication parce que la comm c’est hyper important, et en fait l’idée c’est vraiment de développer depuis un an tout ce qui est communication Facebook, Instagram et également Twitter. L’idée c’est d’être présent, d’expliquer aux gens et surtout de faire beaucoup de presse également. Ce qui draine beaucoup vers le site Internet c’est la presse bien entendu et le top 1 c’est la presse vidéo. C’est-à-dire que du moment qu’on passe à la télé, derrière ça draine vers le site internet et ça nous permet d’augmenter les ventes et surtout d’attirer beaucoup de trafic. Et après faire des partenariats typiquement avec des interviews comme celle d’aujourd’hui par exemple, ou encore avec des sociétés qui ont réussi à créer une forte notoriété et une forte image. On a une campagne qui va démarrer le mois prochain avec les petits Frenchies. C’est assez intéressant parce qu’ils ont une belle communauté et du coup réussir à identifier les cibles et les communautés qui correspondent à votre produit et communiquer là dessus. Et ça ça marche bien pour en tout cas ramener vers le site internet, et derrière accompagner les gens.

Nicolas J. Chevalier: Avoir une communication en phase avec vos valeurs et donc de trouver des partenaires qui ont un petit peu cette même logique de produits innovants et qui sont dans le coeur de votre cible. C’est ce qui me semble essentiel pour créer des liens et bénéficier d’une croissance peut-être de partenaires à droite à gauche.

Kevin Kastelnik: C’est exactement ça, parce que du coup si vous adressez mal votre cible, c’est-à-dire si vous vous loupez dans votre cible, forcément vous aurez peu de retombées. Donc l’idée c’est vraiment d’essayer de comprendre les attentes de votre marché, de vos utilisateurs et d’adresser les bonnes personnes. Si vous adressez les bonnes personnes, vous arrivez à générer pas mal de trafic. Même si encore clairement on est au début de notre positionnement en termes de communication, parce qu’on a fait beaucoup de choses en interne, on avait peu de budget au début, maintenant on met plus de budget sur des campagnes de communication un peu plus importantes sur les réseaux sociaux.

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Nicolas J. Chevalier: D’accord, on voit aussi que le marché du bien-être c’est un marché qui se développe de plus en plus. J’imagine que c’est aussi ce qui pousse le produit Dreaminzzz à être de plus en plus médiatisé. C’est quoi ta vision sur ce marché du bien-être ? Est-ce qu’il y a d’autres acteurs en place ? Quels sont les enjeux de ce marché-là, tout ce qui est méditation, bien-être sur les prochaines années à venir ?

Kevin Kastelnik: Je vais juste te dire quelques chiffres, parce que déjà les chiffres sont intéressants et parlent d’eux-mêmes. On a 37% des Français et ça peut s’extrapoler au niveau mondial, qui ont des troubles du sommeil. Donc ça va être insomnie d’endormissement, quand vous avez du mal à dormir ou qui vont se réveiller en pleine nuit. 80% des actifs se disent stressés ou vivre du stress au quotidien. Donc le marché du bien-être il est là et c’est quelque chose, c’est un peu je ne vais pas dire le mal du siècle parce qu’il y a bien d’autres problèmes, mais c’est surtout une problématique que tous les actifs et les personnes qui travaillent au quotidien ou même les personnes qui ne travaillent pas peuvent rencontrer. Cela peut toucher énormément de monde, donc ce marché est bien là, nous on l’a testé en tout cas il n’y a pas de problème, c’est quelque chose qui intéresse les gens. Et il y a un deuxième point c’est que les gens maintenant aussi s’intéressent à ce marché-là, en tout cas au bien-être, à la santé parce qu’ils ne veulent plus utiliser forcément des médicaments ou des techniques un peu plus chimiques. Ils s’orientent justement vers des procédés un peu plus alternatifs comme l’hypnose, comme la méditation, la relaxation, la sophrologie. Et justement c’est là où c’est intéressant, c’est parce que les gens reprennent un petit peu le contrôle de leurs capacités et sont capables eh bien justement de travailler sur leurs objectifs. Donc le marché est présent et il est très gros parce que vous imaginez bien que 80% de personnes qui travaillent quand vous étendez ça au marché Nord européen, américain et potentiellement asiatique, vous imaginez bien le nombre de personnes que cela peut faire. Et après derrière il y a des acteurs effectivement. Après notre point de vue, il est qu’il y a beaucoup d’acteurs. En fait il y a beaucoup de sociétés qui se sont concentrées sur la technologie et la récupération d’informations, c’est-à-dire récupérer de la donnée et être capable de vous dire les gars vous dormez mal. Ouais sauf que je sais très bien que quand je dors mal et que j’ai des cernes sous les yeux, je n’ai pas besoin de payer un truc à 1000 euros ou 200 euros ou 300 euros pour qu’on me dise que je dors mal. Donc en fait l’intérêt est plutôt de s’orienter vers des solutions qui elles vont agir efficacement, sur typiquement le bien-être, la santé des utilisateurs. C’est là où on est peu encore, je pense qu’il y a deux trois sociétés comme la nôtre qui agissent dans ce sens-là et qui on fait des produits très simples, très faciles d’utilisation mais qui marchent terriblement bien. Je pense que pour moi le marché est là, est présent, c’est un marché qui ne va pas s’arrêter de grossir parce que tout le monde maintenant s’oriente vers ces procédés-là et évite les procédés chimiques. Par contre il va falloir que les fabricants en tout cas ou les sociétés comme la nôtre plutôt s’orientent vers de l’efficacité produit. C’est ce qu’on a visé, on n’a aucun capteur dans le masque, il n’y a rien c’est simplement des lumières, des vibrations et des enregistrements audio. Mais le tout combiné dans un système qui est très léger, très fin et très flexible etc. fait qu’on a une très grosse efficacité. Donc se concentrer sur agir dans le sens de l’utilisateur et pas collecter de la donnée. La collecte de données ça ne sert pas à grand-chose si on ne fait rien derrière.

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Nicolas J. Chevalier: J’ai vu plusieurs éléments sur votre site e-commerce qui sont vraiment intéressants. Première chose c’est que vous avez mis à disposition un coaching via PDF totalement gratuit et qui peut synchroniser avec son agenda perso. C’est ce qui souligne un peu votre volonté de vous dire OK on est pas seulement là pour vendre un produit mais on est là pour sensibiliser des gens et leur dégager de la valeur, ça c’est aussi important dans votre stratégie.

Kevin Kastelnik: Tout à fait, on est dans le don. C’est-à-dire que je ne caricature pas quand je dis ça, on est là pour aider les gens avec notre système. Donc clairement si on peut les aider encore plus, on fait un travail dessus. Le coaching que vous voyez là effectivement c’est un coaching sommeil qui a été créé en plusieurs pages, en plusieurs semaines, qui vous permet vraiment d’être accompagné au quotidien, de comprendre un petit peu les clés des dysfonctionnements que l’on peut avoir au niveau de notre sommeil, et également on va le miniaturiser il sera intégré bientôt directement dans le masque. Vous l’aurez également directement dans le masque en physique pour les personnes qui ne sont pas trop numériques. Et derrière on va avoir tout un système aussi d’accompagnement qui arrive bientôt normalement d’ici la fin du mois, où vous pourrez justement un petit peu communiquer avec un assistant personnalisé, je ne vous en dis pas plus mais qui vous accompagnera sur pas mal de problématiques. Typiquement c’est ça, on essaye de créer des systèmes qui viennent vraiment accompagner les gens. Pour les particuliers bien entendu jusque là on a parlé que des particuliers pour la partie commerce, mais aussi on fait aussi du e-commerce pour les professionnels de santé et là également on travaille avec des médecins et chirurgiens, dentistes, kinés, et on les accompagne au quotidien dans leurs problématiques pour justement leur permettre d’utiliser l’auto-hypnose en milieu médical ou en milieu professionnel.

Nicolas J. Chevalier: C’est vraiment intéressant cette approche et je pense que c’est ce qu’on voit de plus en plus, de dégager de la valeur, d’accompagner ses clients mais ce terme c’est un peu plus une communauté. Dès lors qu’on leur apporte de la valeur sans avoir cette perspective de vente ou d’avoir une perspective indirecte on va dire par rapport à ça, c’est ce qui me semble essentiel. Et sur votre site c’est ce qui ressort, c’est-à-dire de faciliter aussi l’accès au produit. Je vois l’option de paiement de 2 fois sans frais, c’est d’avoir une logique qui va être beaucoup plus enclin au client et de lui faciliter l’achat, sur la compréhension de la technologie, sur les bienfaits. Et ça c’est votre objectif à terme.

Kevin Kastelnik: Exactement. Et puis surtout quand vous êtes une petite structure, au démarrage le conseil que je pourrais donner également à toutes les petites structures qui démarrent, on est tous dans le même cas au début on n’a pas beaucoup d’argent. Donc un point où on peut se différencier par rapport aux très grosses sociétés, les grosses sociétés ou les grosses entreprises c’est des mammouths. Ils mettent du temps à répondre, ils sont un peu lents, ils ont des process etc. Une startup nous on répond quasi 7 jours sur 7 et quasiment jusqu’à 22h. Donc quand vous avez un client qui est embêté et que vous êtes capable de le dépanner en moins de 2 minutes et de lui donner en tout cas une information sur comment ça marche, comment ça fonctionne, etc.. Derrière vous arrivez à vous démarquer de plus grosses sociétés. On appelle ça le care, c’est un petit peu piqué à Apple mais c’est ça, c’est vraiment le côté prendre soin de ses clients, créer cette communauté, créer du lien. Si vous créez du lien vous arriverez à transformer vos clients en évangélistes qui derrière parleront de votre produit en disant bah écoute achète le masque tu verras déjà d’une ça marche bien, et de deux franchement t’as une petite question, tu as quoi que ce soit, t’appelles n’importe quand il y a toujours quelqu’un qui te répond. Donc ça c’est vraiment un point on peut se démarquer facilement par rapport aux grosses structures.

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Nicolas J. Chevalier: Il y a aussi un autre axe que pas mal de structures utilisent on en a parlé rapidement c’est les réseaux sociaux où tu parlais du Care. Est-ce que ce care il se poursuit sur les réseaux sociaux où vous affichez une forte proximité par rapport à votre communauté ?

Kevin Kastelnik: Tout à fait je crois qu’on répond en moins de trois minutes ou un truc comme ça sur Facebook et on essaye justement typiquement de répondre à tous les commentaires, de répondre à toutes les personnes qu’ils soient bons ou mauvais. On demande on récupère les infos et on voit avec eux. L’intérêt c’est justement de continuer cette proximité sur tous les médias de communication que l’on peut avoir. Alors c’est sûr que maintenant il faut être rodé parce qu’il y en a un paquet entre Facebook Twitter Instagram. Heureusement qu’on a Charline, chargée de com, qui s’occupe de ça puisqu’avec Guillaume on est en toute honnêteté on est pas très doué avec les réseaux sociaux. On est plus doué sur la partie hypnose et conception ça c’est plus notre truc, mais après réseaux sociaux à croire qu’à 30 ans on est déjà vieux. Mais bon en tout cas on a pris Charline qui est plus jeune que nous et qui maîtrise beaucoup plus. Mais effectivement on conserve cette proximité parce que typiquement ça nous permet aussi de garder un contact plus friendly avec les clients. Parce que quand ils vous contactent par mail ça reste toujours un peu plus formel que quand vous parlez aussi sur Facebook, avec Messenger il y a vite un lien différent qui se crée, on a des petits smiles, des petits trucs comme ça qui vont faire que les gens s’aperçoivent que derrière ce n’est pas un robot, ce n’est pas une plateforme de service client, c’est vraiment l’entreprise qui vous parle. Et en faisant ça on arrive justement à garder cette fluidité cette proximité même sur nos réseaux sociaux.

Nicolas J. Chevalier: Tu me parlais également pour les expéditions, tu disais que tu utilisais plusieurs solutions à l’international, pour le national. Quelles sont les solutions que tu utilises pour la partie e-commerce ?

Kevin Kastelnik: Alors que j’en ai testé plusieurs au début. Donc la toute première c’était “à la mano”, c’est-à-dire que du coup on avait des petites étiquettes La Poste Colissimo et on les renseignait, donc autant vous dire que ce n’était pas la plus pertinente. Et après j’ai commencé à fouiller et à me dire est-ce qu’il existe des solutions ou en tout cas des outils qui vont me permettre de gagner du temps ? Alors on a testé la plate forme Colissimo. Honnêtement ce n’est pas top non plus. Et là, on a trouvé SendCloud. SendCloud c’est une espèce d’interface, d’intermédiaire qui vient se pluguer sur l’interface Colissimo ou autre, par exemple ils font du UPS, ils font plein de transporteurs. Ils vont également se connecter à votre site internet. Et là on a gagné tout simplement un temps de malade, c’est-à-dire qu’à partir du moment où on a une commande qui tombe, elle est automatiquement synchronisée sur Sendcloud. On a juste à créer les étiquettes, on a acheté une petite imprimante qui peut imprimer les étiquettes comme Amazon, on colle ça sur le produit et on arrive à expédier en pointe on peut monter à 200 colis par jour. Donc c’est quelque chose qui nous a permis de gagner énormément de temps. L’interface est super fluide et surtout on a également aussi l’interface de retour. Comme je vous l’avais dit tout à l’heure dans les précédentes questions, le “Care” est important, on prend soin de nos clients. Et donc quand on a un retour à faire, que ce soit pour un petit dysfonctionnement ou un échange de produits parce qu’il manquait quelque chose ou autres, eh bien on envoie tout simplement un lien, la personne elle crée son retour automatiquement, elle a son étiquette prépayée, elle le dépose à la poste et après nous on gère tout derrière. Donc vraiment en termes d’interface pour moi j’en ai testé deux autres, je me rappelle même plus des noms, et Sendcloud en tout cas était le plus performant et le plus efficace sur cette partie là. Pour la partie l’expédition en tout cas on ne change pas, c’est vraiment quelque chose qui marche très très bien de notre côté, et on a pu pluguer en plus plusieurs de nos boutiques, on a pu pluguer trois de nos boutiques dessus. Ça nous permet de vraiment rester efficaces pour les expéditions. Et je conseille vraiment de vite faire garder ça quand vous commencez du e-commerce aussi parce que les expéditions, ça vous mange vite énormément de temps si vous commencez à avoir beaucoup de commandes.

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Source : SendCloud

Nicolas J. Chevalier: Est-ce que tu aurais d’autres solutions ou d’autres outils sur la partie e-commerce que tu recommanderais aux membres de notre communauté ? Il y a des choses où tu t’es dit ça c’était essentiel pour notre développement ou pour notre croissance.

Kevin Kastelnik: L’expédition, j’en ai parlé. Le développement qui a bien marché aussi c’est le paiement en deux fois sans frais, dont on a parlé rapidement tout à l’heure mais c’est vrai qu’on n’est pas entré en détail, mais de deux fois sans frais, ça permet à des personnes qui ont des budgets peut-être un peu inférieurs, de travailler sur le fait de pouvoir acheter des produits qui sont peut-être parfois un peu chers. 200 euros, c’est quand même une certaine somme pour certaines personnes. Donc voilà l’idée, nous les deux points clés ça a été vraiment de travailler sur l’expédition pour nous, le deux fois sans frais, et travailler aussi sur la rapidité du site internet. Si vous travaillez également avec des modules ou des systèmes qui vous permettent d’améliorer la vitesse d’affichage de votre site, vous gagnez en taux d’acquisition et en taux de conversion. Parce qu’un site qui rame et qui met 10 secondes à s’afficher, au bout d’un moment vous fermez la fenêtre et vous n’achetez pas.

Nicolas J. Chevalier: Tu utilises quel CMS, quelle plateforme aujourd’hui pour Dreaminzzz ?

Kevin Kastelnik: Nous c’est du WordPress et WooCommerce pour le moment, mais on va s’orienter vers un nouveau nouveau système d’ici la fin d’année parce que pour l’international et pour des plus gros volumes de vente, ça commence à devenir un petit peu compliqué et moins ergonomique en tout cas que d’autres systèmes. Donc on va probablement migrer mais pour démarrer, WordPress c’est gratuit, WooCommerce c’est gratuit. Vous installez ça tranquillement sur un petit serveur soit OVH ou autre, ça ne vous coûte rien du tout et vous pouvez déjà commencer à vendre très rapidement. Oui et un autre service hyper pertinent, hyper performant c’est Stripe. C’est pour les paiements bancaires, paiements cartes bancaires etc. Stripe marche super bien et ça s’installe en deux minutes je crois, j’ai dû mettre pour paramétrer tout ça. Mais évitez au début aussi, un petit conseil, de multiplier les moyens de paiement, parce qu’on a voulu tout mettre en place dès le départ, PayPal etc. Et c’est un peu plus compliqué à gérer quand vous avez beaucoup de commandes. Donc au début ça va augmenté un petit peu et passer sur des cartes de crédit dans un premier temps avec Stripe, ça vous prendra deux minutes et vous installez ça vite, et derrière après vous pouvez ouvrir de nouveaux moyens de paiement.

Nicolas J. Chevalier: Très bien, je pense qu’on a un bel aperçu de cette aventure et de nombreux projets. Ma dernière question va être très simple, est-ce que tu dors mieux depuis que tu as créé Dreaminzzz ?

Kevin Kastelnik: Alors oui oui tout à fait. Alors je vais te dire oui parce que oui il faut que je dise, et je vais te dire il y a aussi le fait que quand tu crées une entreprise, tu as tellement de boulot que tes durées de sommeil elles réduisent un peu. Mais l’avantage du masque c’est efficace, c’est sûr que ça nous permet d’avoir des sommeils profonds très très efficaces. Donc on dort moins, mais on dort beaucoup mieux. Donc l’un dans l’autre on s’y retrouve. Moi j’ai rarement eu de problème de sommeil, mon associé un peu plus. Moi je suis plus à utiliser le masque également pour la performance sportive, pour la concentration et la détente. C’est plus les points pour lesquels je l’utilise. Mon associé par contre ça va être plus pour le sommeil et les siestes récupératrices. Mais oui on dort beaucoup mieux avec le masque Hypnos® et on peut faire surtout beaucoup de choses. Et j’ai oublié de le dire mais on fait du satisfait ou remboursé également, sous 30 jours. Vous pouvez le tester, vous l’achetez vous le testez, au bout de 30 jours ça ne vous va pas, on vous envoie une étiquette prépayée. Vous nous le renvoyez, on vous rembourse et terminé. Vous pouvez vraiment voir que derrière c’est de la proposition de valeur et ce n’est pas uniquement du business.

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Nicolas J. Chevalier: Très bien ce sera le mot de la fin. L’utilisation du masque et donc de l’auto-hypnose pour améliorer sa concentration, pour mieux récupérer… Différents usages avec une stratégie qui est très innovante et qui permet d’être présent sur pas mal de sujets. Donc j’invite l’ensemble de notre communauté à interagir, à retrouver votre site et votre projet sur les réseaux sociaux, à vous suivre pour de prochains produits et de prochaines innovations sur de nouveaux marchés. Je te remercie Kevin, et je te dis à très vite !

Kevin Kastelnik: Merci à toi Nicolas.

Nicolas J. Chevalier: J’espère que ce podcast vous a plus. Je vous donne rendez-vous la semaine prochaine pour la découverte d’une nouvelle personnalité. N’hésitez pas à vous abonner aux podcasts des explorateurs du e-commerce sur votre plateforme préférée, et à partager sur les réseaux si vous avez apprécié cet épisode. À très vite pour de nouvelles aventures, et n’oubliez pas que l’exploration se poursuit sur E-Commerce Nation.

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